Le Miso, le découvrir & le cuisiner

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Aujourd’hui tu te sens fatigué(e), découragé(e), à fleur de peau ? Eh bien c’est normal, et le cas de beaucoup d’entre nous : ce lundi-là de janvier est la numéro 1 des journées déprimantes de l’année et possède même son petit nom, le « Blue Monday ». Et cette année, avec l’arrivée brutale du froid, de la neige (bon c’est joli aussi), des transports qui ne marchent pas, je parierai bien sur un Super Blue Monday. Une seule chose à faire : le dos rond, et la tête occupée à plein de trucs chouettes et salivants…

Bah tiens, comme la publication d’un (mon!) livre sur le miso, un aliment tellement bon et sain qu’il est administré par les médecins japonais pour contrer les effets néfastes de la nicotine ou encore des radiations nucléaires. Il s’appelle « Le miso, le découvrir et le cuisiner » et incarne la concrétisation de ma grande histoire d’amour avec ce produit unique, généreux et protéiforme, pilier de la cuisine japonaise. Pourtant, comme pour beaucoup d’occidentaux, ma première rencontre avec le miso ne s’est pas faite sur le coup de foudre, oh non. Je me souviens avoir l’impression de manger du Marmite à l’état pur (tu sais cet pâte noirâtre dont raffolent les British ;) ou bien une tapenade ultra-concentrée à laquelle on aurait ajouté des anchois et du caramel pouah O¨O. Rien à voir avec la soupe miso au goût sibyllin que j’avais l’habitude de déguster à Paris. Là c’était foncé, pâteux et ça partait dans tous les sens.

miso-mosaique

Mais vu comment s’en délectaient les Japonais, je savais que je manquais quelque chose. Je me suis donc mise en mode Petit-Prince et j’ai tenté d’apprivoiser le renard miso. Si tu me suis depuis suffisamment longtemps, peut-être as-tu assisté à ma miso-gression. J’ai commencé doucement, avec du riz, des carottes, du chou et du miso. Puis j’ai enchaîné sur l’association poireau-miso, qui est l’une des meilleures qui existent et là *flash* coup de foudre à retardement… Depuis, je n’ai eu de cesse que de trouver de nouvelles façons de le cuisiner, tant et si bien que l’idée d’un livre a bientôt pointé son nez : tout le reste, je te le raconte dedans !

Tu y trouveras des conseils pour choisir le miso, mais aussi pour le déguster à la manière dont on déguste chez nous vin et fromage. On y parle aussi du miso spécifiquement français, produit par Danival, cette entreprise avec laquelle je suis tombée en grande amitié : figures- toi qu’elle produit des misos bios, à partir de fèves de soja elles-mêmes cultivées en France dans le Sud-Ouest par Eric Berjon, un agriculteur qui travaille avec Danival depuis 1990. Le shiro miso que Danival vient tout juste de sortir est issu de cette belle collaboration : l’un, attendant que l’autre réussisse à cultiver la variété de soja adéquate. Ca, c’est du partenariat !

Puis les recettes se divisent en plusieurs parties : l’apéro, les soupes (ben oui !), festin nippon avec des recettes traditionnelles à base de miso, le miso au quotidien (utilisé à la mode de chez nous ;), les sauces et enfin les desserts !

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Et pour contrer définitivement les effets néfastes du Blue Monday, je te propose  un nouveau concours pour gagner l’un des 5 exemplaires du livre. Pour participer, il suffit de suivre mon compte Instagram et/ou Facebook, et de commenter sous la photo du concours en tagant un ami. Le gagnant sera tiré au sort, la fin du concours aura lieu le 24 janvier à minuit, pour des résultats le 25 !

Pour acheter le livre, le mieux est de le commander auprès de la librairie la plus proche de chez toi : ça fera travailler ces boutiques si uniques, plutôt que de faire grossir encore les géants de la distribution globale :)

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15 réponses à Le Miso, le découvrir & le cuisiner

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