Daifuku à la pistache & fleur d’oranger – la cuisine suggestive

Lorsque j’ai préparé ces daifukus, c’était vraiment sans aucune arrière pensée. Dans la lignée de ces daifukus matcha & pâte d’amande, j’avais dans l’idée de revisiter le daifuku, cette douceur japonaise, avec des notes moyen-orientales qui lui vont si bien. Pistache + Fleur d’oranger et pas mal d’huile de coude plus tard, j’avais confectionné de petits dômes que j’avais surmonté de boulettes de pâte de pistache pour la note décorative. Puis j’ai recouvert d’un torchon et mis le tout au frais. Le soir venu, à l’heure du dessert, fière comme Artaban, j’apportai fièrement mes douceurs sur la table.

Et voilà que l’homme, au lieu de légitimement s’émerveiller, me jette un regard goguenard :
– Dit donc, tu te lances dans la cuisine érotique ?
Moi, à cet instant précis, je ne voyais vraiment pas de quoi il parlait.
– … Qu’est ce que tu me chantes ?
Et ce fut à son tour d’être embarrassé : comment dire et ne pas basculer dans le vulgaire ?
– Mais tu vois bien, ils ont une forme euh, spécifique quoi… 

Et là, j’ai vu. Pour les mêmes raisons que l’homme, je t’épargnerai l’explication de texte et te demanderai seulement : tu l’avais vu toi aussi ? Bon, en tout cas, je n’avais plus à chercher la recette de Saint-Valentin.

Les ingrédients : du basique sauf la fécule d’arrow-root qu’on trouve en magasins type bio. A noter qu’outre son fort potentiel texturisant, elle est aussi très bonne pour la digestion, et particulièrement conseillée pour les personnes à terrain allergique. Ici, elle fournit donc une excellente manière de conclure en douceur un dîner en amoureux volontiers épicé ;) Pour agrandir la recette, clique dessus puis pour l’imprimer, clique droit.

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Curry de légumes d’hiver express

Autour de cette recettes de crêpe à la farine de pois chiches que tu peux d’ailleurs apercevoir au fond de la photo, je t’ai parlé d’un curry de légumes lui servant de farce. C’est un de mes grands classiques, savoureux, simple et rapide. Ce qui n’est pas rien quand tu rentres d’une grosse journée de boulot et qu’en plus des tâches domestiques incompressibles, tu ne te vois pas, mais vraiment pas te mettre longtemps aux fourneaux Continuer la lecture

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La diversification alimentaire de bébé

 

Si toi non plus tu ne sais soudain plus comment faire une purée de carotte et que tu es totalement paniquée à l’idée de la faire manger à bébé, ce billet est pour toi. Pas simple de diversifier l’alimentation d’un tout petit… Pour nous, manger est évident, mais comment lui apprendre à lui ? Voilà une question qui mettrait dans l’embarras plus d’un chef étoiléMoi qui en suis très loin mais qui cuisine quand même de temps en temps, j’étais carrément terrorisée.

Voici donc les tuyaux et recettes que j’ai grappillées de-ci de-là pour passer ce cap réjouissant mais pas toujours très rassurant

 

1. Les trucs à savoir sur la diversification

A quel âge ?
Aujourd’hui, on conseille de commencer à diversifier l’alimentation de bébé à partir de 4 mois. C’est à cet âge là que j’ai fait essayer à ma moussaillone ses premières purées de légumes. Les compotes de fruits sont arrivées dans un second temps : je n’avais pas envie qu’elle devienne dès le départ accro au sucre. En fait aujourd’hui, du haut de ses 9 mois, ma moussaillone préfère nettement le salé et je ne suis pas certaine que ma stratégie y soit pour grand chose.

Fait-maison ou petit-pot ?
Tout dépend… Il peut-être rassurant de confier les premiers pas alimentaires de son bébé à des marques reconnues et réputées. Toutefois on dit que les aliments en petits pots ont perdu beaucoup de leurs nutriments, et aussi et surtout qu’ils n’ont pas la même saveur. Ceux et celles qui y ont déjà goûté savent de quoi je parle :S.
Mais si tu travailles trop, alors peut-être vaut-il mieux laisser tomber le fait-maison et aller direct cajoler ton bébé.
Perso, j’essaie la plupart du temps de cuisiner les purées moi-même, mais lorsqu’il me manque de temps, que nous sommes de voyage ou que ma moussaillone refuse tout simplement ce que lui prépare, je lui propose sans scrupule un petit pot tout fait. J’aime bien notamment ceux de la marque Hipp

Quel matériel ?
une petite cuillère aux bords doux : bébé qui ne sait pas bien faire ne risquera ainsi pas de s’écorcher les gencives. Mais très vite, tu pourras passer à la cuillère normale.
deux bavoirs : un pour bébé et un pour toi ;) Personnellement, mes préférés sont en éponge d’un côté et en toile imperméable de l’autre, je les ai trouvées chez Kiabi. Il existe aussi des blouses qui recouvre bras & torse, je te recommande tout spécialement celles d’Ikéa dans un tissu imperméable et souple à la fois.
un cuit vapeur : c’est le mode de cuisson qui permet de préserver au maximum les nutriments. Mais il aussi est tout à fait possible de cuire les aliments directement dans une simple casserole en les recouvrant d’un peu d’eau : on les mixera ensuite avec un peu du jus de cuisson où se sont transférés une partie des nutriments.
un mixeur : essentiel au tout déput, pour obtenir une purée bien homogène. Si tu ne vois pas trop quelle texture viser, tu peux toujours acheter un petit pot tout fait pour bébé de 4 mois pour vérifier. Moi, je me suis servie au début d’un mixer-plongeant, très efficace. Mais le robot mixeur est aussi très bien, et s’adaptera aux purées à morceaux pour bébé de plus de 8 mois.
autre option : un robot qui cuit et qui mixe. Si tu optes pour le fait-maison, tu pourrais vouloir gagner du temps et t’offrir dès les premiers mois de bébé un robot qui fait tout, depuis la stérilisation des biberons jusqu’à la cuisson des aliments. Ou alors, tu t’achètes un robot qui fait tout : après avoir effectué une petite recherche puis l’avoir testé, je te conseille notamment le Nutribaby de Babymoov qui possède aussi un site dédié plein de bonnes recettes, notamment quelques-unes miennes : c’est moi qui ai pris l’initiative de les contacter pour leur proposer ce partenariat.

A quel rythme ?
C’est bébé qui donnera la cadence. Au début il goûtera du bout des lèvres (ou engloutira tout direct) et fera des moues improbables (à ce sujet prévoir d’être deux pour immortaliser ces moments !) Puis il y ira plus franchement, et enfin il plongera bouche grande ouverte vers la cuillère. Cela peut prendre une semaine comme plusieurs mois.

Et enfin, quels aliments ?
Pour pouvoir repérer une éventuelle allergie, on conseille de proposer les légumes uns par uns juste mixés et agrémentés d’un peu d’huile.
– la carotte : c’est par elle souvent qu’on commence car elle est sucrée et parfaitement connue de tous. A savoir aussi qu’elle est constipante : il faut savoir doser en fonction des intestins de bébé…
– la patate douce est dans le genre sucré encore plus adaptée (recette ci-dessous) : en général bébé adore.
– la courgette est un autre grand classique et peut s’avérer utile pour régler les intestins de bébé.
– la pomme de terre est également à proposer rapidement, afin de pouvoir l’utiliser par la suite pour donner du velouté aux purées de bébé.
– l’oignon est aussi intéressant à inviter rapidement dans le bol de bébé. Il apporte une note sucrée et combattrait, grâces à ses nombreux nutriments, notamment l’angine, la grippe et la diarrhée.
– la betterave enfin, qui offre le double avantage d’être sucrée et de fluidifier le transit, elle peut s’avérera bien pratique si bébé est constipé (allié à des lentilles c’est ultra efficace ;).

Si toi aussi tu pratiques le « manger bébé », n’hésite pas à témoigner et partager tes trucs et astuces !

2. Les recettes !
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Crêpes à la farine de pois chiche

L’un des plus beaux avantages de cuisiner maison, c’est de pouvoir choisir sa farine. Et surtout en changer selon l’humeur et le plat. Depuis que j’ai découvert le continent « farine », il n’y a plus de béchamel que je ne prépare sans ajouter de la farine de seigle par ici (top dans un gratin de poireaux), ou de sarrasin par là. Il n’y a plus de gâteau que je ne confectionne sans combiner le blé avec de l’épeautre ou encore de la farine de châtaigne.

C’est ainsi que je me suis mise à systématiquement consulter les rayonnages des magasins diététiques, en quête de nouvelles saveurs. Comment t’avouer que le rayon des farines est devenu l’objet de tous mes fantasmes… Je reste notamment toute intriguée par les farines de souchet, de kamut, ainsi que celle de pépin de raisin. Quelqu’un a-t-il déjà essayé ?

Or, cela faisait plusieurs mois qu’un paquet de farine de pois chiche zonait dans mes placards. En grande partie parce que j’avais flâné chez Clotilde de Chocolate & Zucchini, ou encore chez Esterkitchen. Et puis, avec la chandeleur, je me suis lancée. Une révélation : outre l’immense avantage pour les intolérants d’être sans gluten, ces crêpes on une texture très fine, pas du tout granuleuse comme je le craignais. On les prépare comme des crêpes classiques, j’ai même trouvé qu’elles étaient plus faciles à manipuler, qu’elles se déchiraient moins facilement, alors même que je les faisait toutes minces.

Au goût, elles sont parfumées sans être écœurantes. La recette que je te propose est nature, avec juste une pointe de sel comme assaisonnement, elle s’adapte à des garnitures salées ou sucrées. Moi, j’ai essayé avec oeuf + comté râpé, et puis citron + sucre : c’est top. Et puis le lendemain, je les ais fourrées d’un curry de légume express (recette à venir ;) : un pur délice. 

Pour info, il y a deux nouvelles rubriques sans gluten sucré et sans gluten salé, et aussi un interview autour du blog sur l’Express Styles.

 

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Le Mont-blanc et le Franponais

Comme la madeleine trempée de thé de Proust, il est des plats qui délivrent davantage qu’une simple expérience gustative. Ils sont alors comme des clés qui ouvrent grande l’armoire des souvenirs. Et parfois, l’univers auquel on les associe, est bien loin de l’habituel.

C’est le cas pour moi du Mont-Blanc, cette pâtisserie un peu surannée à base de marron & chantilly. Lorsque j’y plonge ma cuillère, ce n’est pas en Italie ou en France chez Angelina que je me trouve transportée, mais au Japon. Là-bas, on voue un véritable culte au « monburan » (prononcer monboulane). Avec la régularité d’un métronome, quand commence la saison froide, il arrive sur tous les étalages et se compose d’une pâte sablée, d’une couche de chantilly et d’une autre de crème de marron, le tout agrémenté de marrons à la couleur jaune canari, dû à quelque mystérieux procédé de fabrication.

L’une des choses qui m’a le plus fascinée/interloquée sur l’île du dragon, c’était la relation a priori paradoxale que ses habitants entretenaient entre l’authentique et le factice. Dans la restauration, c’est carrément hallucinant : comme ces pizzerias en carton pâte, où tout est reconstitué, jusqu’aux fausses bougies à demi-fondues plantées dans de vieilles bouteilles de chianti. Le sens du détail y est poussé à l’extrême comme pour approcher au plus près de la réalité, et en même temps tout est délibérément faux. Comme aussi ces « bourangeries » proposant une totale immersion dans les cafés parisiens, remplies de jeunes-femmes soigneusement vêtues…

Il existe d’ailleurs une langue propre à cette France nipponne : le franponais. En se promenant dans les rues de Tokyo ou encore sur les pages web, on trouve plein d’exemples de ces assemblages de lettres qui sonnent français, sans l’être : comme cette chaîne de restauration appelée « Jus de Coeur », ou encore ce magasin nommé « Jouir de Bijou »… De quoi se taper de bonnes tranches de rigolade, surtout quand tu passes devant une résidence qui s’appelle « belle pine ».

Bref, mon Monburan à moi,  je te le propose en VF – on ne se refait pas – avec de la meringue, je préfère le croquant au sablé. Et comme la difficulté tient en bonne partie à la fabrication de cette dernière, je fais ici appel à du « préfabriqué » : la petite meringue striée que tu trouves au rayon pâtisserie. Il suffit ensuite de la recouvrir de crème chantilly (maison ou pas pour une réalisation super express), puis de crème de marron, à l’aide d’une poche à douille, ou d’un sac de congélation dont on a coupé un bout. Je suis très satisfaite de cette formule car elle permet de réaliser rapidement un dessert épatant, à disposer en masse sur un buffet, dans une assiette à dessert avec son jumeau, ou à côté d’un café gourmand (pour la totale touche nippone, proposer un mini mont-blanc accompagné par exemple d’un moelleux à la patate douce).

Enfin, il y a dans cette recette un ingrédient mystère : le sucre stevia-cassonade. Je l’ai précisément découvert au moment où je planifiais la réalisation de mes Mont-Blancs. Je n’étais pas trop fan de la poudre 100% stevia qui n’avait pas beaucoup de saveur. Mais alliée ici au bon goût de la cassonade, il en garde le croquant et le bon goût, tout en permettant de sucrer moins : je suis vraiment séduite (aucun partenariat secret ne me pousse à le dire ;).

La liste des courses (pour 8 mini mont-blanc, soit 4 desserts) : 8 petites meringues striées, – 200ml crème fleurette à 35% – 40g sucre stevia & cassonade (ou 80g sucre cassonade – 150g marrons cuits – 150g crème de marron – 1 gousse de vanille.
Pour agrandir la recette, clique dessus, puis pour l’imprimer, clique droit. 

 

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Ramen porc et miso pour la Paris Ramen Week

Lundi prochain s’ouvre la Paris Ramen Week. L’occasion pour les autochtones de déguster et pour les autres de préparer maison ce plat terriblement de saison.

Le terme « ramen » désigne un type de pâte à base blé originaire de Chine mais par extension, il est devenu le nom d’un plat extrêmement populaire au Japon, à la fois savoureux et économique. Les fameuses pâtes sont servies dans un bouillon, accompagné de quelques morceaux de légumes et de viande.

C’est cela que j’apprécie dans la cuisine japonaise : les aliments sont utilisés avec parcimonie, ils sont là pour parfumer et non rassasier. Une bonne manière de réduire sa consommation de viande et de poisson, à l’heure où on se met à manger des insectes par peur de manquer… (ceci dit, j’attends de goûter, peut-être que c’est exquis ?!) A Tokyo, on trouve des échoppes de ramen à tous les coins de rue, chacune allant de sa spécialité. Pour un aperçu alléchant, vois notamment le Ramenoscope d’Issekinicho.

Le ramen se déguste bouillant, une main calée sous le bol pour l’orienter à sa guise, et l’autre main maniant les baguettes avec *dextérité*. Attention malheureux/se de ne surtout pas réclamer cuillère : le ramen se mange et s’aspire à la fois, le bol calé sous le menton, les baguettes faisant des vas-et-viens pour glisser les ingrédients vers la bouche. Sluurp.

Il ne s’agit pas là d’une recette orthodoxe, mais d’un bidouillage tout à fait savoureux entre France et Japon, à base d’ingrédients à peu près accessibles en France.
– Les ramens : l’idéal est d’en trouver des frais tu en trouveras peut-être chez, sinon tu peux prendre des nouilles chinoises plus faciles à trouver au rayon « cuisine du monde » de ton supermarché.
– Le miso : vois cet article qui t’en parle. Tu en trouveras dans une épicerie asiatique, ou dans ton magasin bio. Tout type de miso peut faire l’affaire pour cette recette-ci, sachant que ma préférence va à l’aka miso. Si c’est une première fois, éviter peut-être le hatcho miso, très corsé.
– Enfin, pour pimenter le tout, on peut saupoudrer le ramen d’une pincée de piment. J’ai utilisé ici un mélange japonais, à base de piment séché et de graines de sésame noir, contenu dans la jolie boîte que tu vois sur la photo.

La liste des courses : – 2 tranches de poitrine de porc fumée – 200g de viande de porc – 10cl vin blanc moelleux (type Bergerac) – 300g ramen deshydratés – 4 shiitakés séchés – 4 feuilles de chou frisé – 1 poireau – 2 gousses d’ail – 2 bouillons cubes volaille – 2 càs miel – environ 30g gingembre – 4 càs sauce soja – 2 càs miso – 250g ramen deshydratées ou nouilles chinoises.

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Courge Delicata farçie au boulgour & chorizo

Mon dernier trésor trouvé dans ma Biocoop mayennaise…

Cette délicate là, s’encanaille avec du chorizo bien piquant qu’adoucit une cuillère à soupe de miel. Le boulgour s’imbibe du jus de la belle tandis que les noisettes lui apporte du croquant… Pour agrandir la recette, clique dessus, puis pour l’imprimer clique droit.

La liste des courses (pour 4 personnes) : 2 courges Honeyboat Delicata, 120g boulgour, 1/2 chorizo piquant, 1 oignon, 2 càs miel, 1 poignée de noisettes.

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Voeux 2014

… parce que le vert c’est la vie. Pour toi belle plante (ou beau végétal, ne soyons pas :P) qui lis ce blog. Et aussi un luxuriant merci pour tes visites et tes commentaires !

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Porc braisé aux choux de Bruxelles

Le chou, c’est comme le fromage : ça sent fort et c’est trop bon. Dans la catégorie mini format, maxi puissance : le chou de Bruxelles. Éloge légitime et immodéré.

Le chou de Bruxelles est riche en vitamines, minéraux, oligo-éléments divers et variés. Comme ses autres cousins crucifères, il permettrait notamment de lutter contre le cancer. A savoir tout de même que pour cette recette-ci c’est un peu raté étant donné que pour garder tout ces nutriments intacts, on conseille de le cuire à la vapeur peu de temps. Mais rien ne t’empêche de rajouter en fin de cuisson des choux justement cuits. En plus ce sera plus joli car ils seront bien verts.

Côté goût, je trouve au chou de Bruxelles une saveur à la fois douce et affirmée. Je l’aime particulièrement pour sa texture ultra onctueuse lorsqu’il est cuit longuement : il se passe alors volontiers de crème. Mijoté avec du porc que relève un peu de gingembre, il fournit un plat à la fois gourmand et sain ! Parfait pour rester en paix avec le sale-temps-mouillé et entamer en toute sérénité cette nouvelle année…

A toutes fins utiles, je te joins un petit préambule sur la manière de préparer un chou de Bruxelles. Ça a beau être bête comme chou, quand on ne l’a jamais fait, on ne peut pas savoir.

Et puisque avec 2014, j’ai soudain réalisé que plus personne n’imprimait de recettes (si?), je te propose un nouveau format, qui sera plus adaptée à la lecture sur ordinateur ou tablette. Pour les intolérants au gluten, utilisez à la place de la farine, de la fécule de maïs (maïzena) ou de pomme de terre.

Pour faire les courses, la liste des ingrédients600g de porc (épaule), 600g choux de Bruxelles, 4 gousses d’ail épluchées, 20cl vin blanc, 2 cuillères à soupe de farine, 30g beurre, sel & poivre.

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Ochazuke, saumon et miso

 

Sans vouloir alimenter le cliché selon lequel la cuisine japonaise serait légère par défaut (j’en appelle à témoin l’okonomiyaki), il est vrai qu’elle propose certains plats particulièrement sains et savoureux. C’est le cas de l’ochazuke, un type de recette à base de thé vert que l’on verse sur un bol de riz agrémenté d’aliments divers et variés. J’adore ce concept de cuisine au thé, un ingrédient que l’on cantonne injustement à sa tasse. C’est dommage, car il joue parfaitement aussi le rôle de condiment. Qu’on le libère une fois pour toute de sa tasse !

Et puis après les débauches festives, c’est typiquement le genre de plat qui parvient encore à me faire saliver. Attention toutefois, si à Kyoto vos hôtes vous servent un ochazuke, c’est peut-être que vous êtes restés un peu trop longtemps…

Bon début d’année !

Liste des courses (pour 4 personnes ) : du riz cuit, 400g saumon frais, 2 càs miso, 1 carotte, 1/2 oignon, 1/2 de chou blanc, thé vert, graines de sésame grillées, algues en paillettes.

Pour agrandir la recette, clique dessus.

 

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